Cette semaine, je suis un papa comblé !
Ma fille, qui est en quatrième, s’est faite aider au collège pour définir son orientation, et est rentrée à la maison en m’annonçant la bonne nouvelle :
- papa, je veux être réalisatrice de films !
- quoi ?
- réalisatrice de films !
- mais, cela te prend comme ça ! Où es tu allée chercher cette idée ?
- à l’école, nous avons rempli des fiches, on décrit notre caractère, ce que l’on aime…., et pour moi, le métier qui ressort est réalisateur de film. Tu n’as pas l’air content ?
A 44 ans, ayant enfin acquis, après un long travail sur moi, le réflexe de ne pas contrarier l’obstination volatile de la gente féminine, en particulier sur les orientations ou réorientations (clin d’œil personnel !), je prenais sagement la décision de jouer de la technique le lendemain, et creuser la motivation de ma fille pour devenir réalisatrice de film !
Le lendemain, ma réalisatrice en herbe me rapporte fièrement son relevé de notes, comme pour m’apporter une garantie à la validation de ses ambitions, et je découvre sa moyenne générale annotée avec l’écriture ronde et déliée de son professeur principal :
Moyene : 15,10
- il n’y a rien qui te choque à la fin ?
- si, avec maman, on a vu qu’il n’a mis qu’un « n » à moyenne !
……gloups, il ne manque plus que ce soit ce prof qui oriente ma fille !
Peu après, au journal télévisé, j’apprends que les enseignants seraient souvent malades, 11 jours d’absentéisme en moyenne pour les titulaires par an, ce qui entraîne un problème de remplacement, les remplaçants qui eux-mêmes auraient 17,4 jours d’absence par an….je n’ai pas les statistiques pour les remplaçants des remplaçants…..et à ce moment je comprends TOUT !
D’abord, l’entrepreneur équitable que je suis à un cœur, et se dit que franchement les enseignants n’ont pas de chance ! …enfin plus que leurs remplaçants !
En calculant qu’un enseignant travaille environ 180 jours par an, ces 11 jours représentent environ 6% de la période, ces 6% appliqués au 365 jours d’une année, représentent 22 jours de maladie par an…évidement il s’agit de moyenne, considérant que l’enseignant ne fait pas exprès d’être malade les jours où il travaille
Revenons au sujet !....Cette faible résistance à la maladie du corps enseignant, croisée avec la proposition d’orientation de ma fille me permet de découvrir l’origine du problème.
Monsieur Luc CHATEL, tout simplement, vos enseignants ne maîtrisent pas la pyramide des besoins de MASLOW !
Mesdames et Messieurs les enseignants, pour être en bonne santé, il faut satisfaire aux besoins physiologiques de l’organisme, boire, manger…, il s’agit du premier niveau, et je suis convaincu au travers de l’orientation que vous proposez à nos enfants, que vous l’avez oublié, pour eux, mais aussi pour vous même et votre organisme s’affaiblit, votre résistance à la maladie diminue et votre absentéisme au travail augmente !
Adoptez ce principe de base :
« Je ne vis pas pour travailler, je travaille pour vivre »
..et rappelez vous que nos enfants ne vivent pas pour faire des études, mais qu’ils étudient pour vivre !....et satisfaire des besoins qui sont d’abord primaires et que vous avez oubliés !
N’envoyez pas nos enfants sur les bancs des « crèves la faim » se nourrir de rêves déchus !
Comprenez une chose, la société a le souci de se nourrir, et si vos besoins actuels ne font partie que du quatrième ou cinquième niveau de la pyramide, puisque vous avez au moins gagné la sécurité de l'emploi, n’en oubliez pas que nos enfants doivent passer par le premier niveau !
Ma fille, qui est en quatrième, s’est faite aider au collège pour définir son orientation, et est rentrée à la maison en m’annonçant la bonne nouvelle :
- papa, je veux être réalisatrice de films !
- quoi ?
- réalisatrice de films !
- mais, cela te prend comme ça ! Où es tu allée chercher cette idée ?
- à l’école, nous avons rempli des fiches, on décrit notre caractère, ce que l’on aime…., et pour moi, le métier qui ressort est réalisateur de film. Tu n’as pas l’air content ?
A 44 ans, ayant enfin acquis, après un long travail sur moi, le réflexe de ne pas contrarier l’obstination volatile de la gente féminine, en particulier sur les orientations ou réorientations (clin d’œil personnel !), je prenais sagement la décision de jouer de la technique le lendemain, et creuser la motivation de ma fille pour devenir réalisatrice de film !
Le lendemain, ma réalisatrice en herbe me rapporte fièrement son relevé de notes, comme pour m’apporter une garantie à la validation de ses ambitions, et je découvre sa moyenne générale annotée avec l’écriture ronde et déliée de son professeur principal :
Moyene : 15,10
- il n’y a rien qui te choque à la fin ?
- si, avec maman, on a vu qu’il n’a mis qu’un « n » à moyenne !
……gloups, il ne manque plus que ce soit ce prof qui oriente ma fille !
Peu après, au journal télévisé, j’apprends que les enseignants seraient souvent malades, 11 jours d’absentéisme en moyenne pour les titulaires par an, ce qui entraîne un problème de remplacement, les remplaçants qui eux-mêmes auraient 17,4 jours d’absence par an….je n’ai pas les statistiques pour les remplaçants des remplaçants…..et à ce moment je comprends TOUT !
D’abord, l’entrepreneur équitable que je suis à un cœur, et se dit que franchement les enseignants n’ont pas de chance ! …enfin plus que leurs remplaçants !
En calculant qu’un enseignant travaille environ 180 jours par an, ces 11 jours représentent environ 6% de la période, ces 6% appliqués au 365 jours d’une année, représentent 22 jours de maladie par an…évidement il s’agit de moyenne, considérant que l’enseignant ne fait pas exprès d’être malade les jours où il travaille
Revenons au sujet !....Cette faible résistance à la maladie du corps enseignant, croisée avec la proposition d’orientation de ma fille me permet de découvrir l’origine du problème.
Monsieur Luc CHATEL, tout simplement, vos enseignants ne maîtrisent pas la pyramide des besoins de MASLOW !
Mesdames et Messieurs les enseignants, pour être en bonne santé, il faut satisfaire aux besoins physiologiques de l’organisme, boire, manger…, il s’agit du premier niveau, et je suis convaincu au travers de l’orientation que vous proposez à nos enfants, que vous l’avez oublié, pour eux, mais aussi pour vous même et votre organisme s’affaiblit, votre résistance à la maladie diminue et votre absentéisme au travail augmente !
Adoptez ce principe de base :
« Je ne vis pas pour travailler, je travaille pour vivre »
..et rappelez vous que nos enfants ne vivent pas pour faire des études, mais qu’ils étudient pour vivre !....et satisfaire des besoins qui sont d’abord primaires et que vous avez oubliés !
N’envoyez pas nos enfants sur les bancs des « crèves la faim » se nourrir de rêves déchus !
Comprenez une chose, la société a le souci de se nourrir, et si vos besoins actuels ne font partie que du quatrième ou cinquième niveau de la pyramide, puisque vous avez au moins gagné la sécurité de l'emploi, n’en oubliez pas que nos enfants doivent passer par le premier niveau !